MARX AU 21ème SIECLE ?

  • index
  • Bienvenue
  • Qui sommes-nous ?

     

  • MARX LIBERATEUR

  • Economie marchande et non marchande
  • valeur d'usage/forces productives
  • Valeur Travail/exploitation
  • Théorie de l'aliénation
  • Monnaie
  • Etalon monétaire et prix
  • Inflation:actualité
  • Marchés de l'or actuels
  • Libre Echange, monnaie coloniale
  • Le salariat

     

  • MARX INDUSTRIALISTE pour le compte du capitalisme

  • Machinisme et science
  • Déterminisme historique
  • Démocratie
  • Communisme révolution
  • Le capitalisme peut-il s'effondrer ?
  • Lois du capitalisme ??
  • Industrialisation
  • Famines et capitalisme
  • famines et communisme
  • Les forces productives ont-elles cessé de croître ?
  • Soviétiques en Afghanistan
  • Chine communiste

     

    ANNEXES

    Analyses théoriques

    Colonisation, CurrencyBoards

    euro

    Islamisme

    CROISSANCE DU CAPITAL

    Justice

    Keynes

    La Gauche dans le monde

    L'extrême gauche

    Les trente glorieuses

    Nationalisme

    Racisme et discrimination

    religion irréligion

    Socialistes français 2014

     

    Analyses factuelles et historiques

    Afrique

    Al Qaïda: Qui infiltre qui ?

     

     

  • Liberté d'expression Charlie Hebdo
  • libre circulation sans papiers
  • Luttes de classe au jour le jour
  • Macronisme
  • Palestine maudite
  • Patriarcat et droits des femmes
  • paysannerie
  • Paysannerie en Inde
  • Pays du Tiers Monde
  • Somalie
  • Soudan,Darfour
  • Soviets
  • stratégie syndicale
  • Syrie
  • Terrorisme
  • Théorie du complot ?
  • Transition énergétique
  • TRUMP, un cancrelat du capitalisme, un produit logique du communisme
  • UKRAINE la guerre
  • Voyoucratie d'Etat
  • Yémen

    QUE FAIRE ?

    -L'Internationale des travailleurs: urgence !

     

     

  • Ecrivez-nous :

    infos@marx21siecle.com

  •    

    LE MACRONISME

    Macron pourrait illuster l'homme politique opportuniste d'une époque, ce serait quant au fond un homme sans scrupule, formé par le PS, un modèle du genre dans l'apparemment acceptable.

    Brillant, relativement culitivé, beau parleur, il fait partie de ces hommes politiques issus du Parti Socialiste, ayant appris leur métier dans le travestissement dans tous les domaines: fou de pouvoir avec un discours humaniste et l'art de la formule, mais opportuniste en diable. Converti dans les années 80 dans le PS à la nécessité de justifier le capitalisme et d'y faire ses armes. Mitterand est passé par là et a approfondi le tournant du PS vers la gestion par la gauche des affaires financières et économiques de l'Occident.

    Faisons un petit écart dans l'histoire. Au Congrès de Tours de 1920, les bolchéviks rejettent les partis social-démocrates (PSD) vers la bourgeoisie, et fondent les partis communistes sur la division du monde salarié. Repoussant le pouvoir à la base, les soviets, comme leurs adversaires bolchéviks, les PSD rejettent la dictature de l'appareil et les dérives dictatoriales, et s'engoufrent dans le réformisme qu'ils confondent peu à peu avec la gestion du capitalisme qui leur est offerte, mais avec des réserves. Ils continuent de se dire socialistes..(1)

    Il faudra les années 80, et l'acceptation de la "mondialisation" (désintermédiation et libre circulation des capitaux) pour que les partis socialistes fassent le saut vers la gestion proprement dite du capitalisme. Mitterand est l'un de ces hommes là, avec Mauroy, Fabius, Rocard, Delors, ....Valls, Macron.....

    Au début ils veulent peut être gérer honnêtement, mais l'apprentissage du pouvoir permet d'entrer dans le savoir faire de la dissimulation, du mensonge, du discours mensonger, de l'opportunisme... Macron après Valls, trop sectaire, fait merveille.

    Il va illustrer une manière de gouverner. Se croire les mains libres pour agir selon son bon vouloir, en utilisant les failles de la démocratie, c'est à dire l'absence de contrôle par les citoyens. Se faisant, après les 30 glorieuses, où tout s'est touvé faussé (mais c'est un autre problème), le type d'homme ci-dessus va faire merveille, à une époque où la gauche n'a plus de substance, ou perd ses dernières substances;.. Il prend la tête du récit mensonger de la politique et couvre la corruption .

    L'avantage pour des hommes comme lui, par rapport à la droite, est la connaissance du milieu, des syndicats, du PCF, du PS, de la division comme principe de rapports à gauche et de partage des pouvoirs

    (1)Sur le rejet des soviets, le parti social démocrate allemand enverra la police contre les conseils ouvriers qui se forment en 1919-20 lors de la tentative de révolution en Allemagne. En URSS les bolcheviks transforment les soviets en organes administratifs en les privant de leur pouvoir à la base.

    Les PSD se disent réformistes. Cette question est importante. S'agit-il de gérer le capitalisme ou d'obtenir des réformes, par la lutte politique, visant au mieux être social et humain de la population ? Dans l'idéologie bolchévique, cette nuance d'importance n'existe pas. Le réformisme est condamné quel qu'en soit le contenu. Jaurès était réfomiste dans un sens révolutionnaire, disait-il. Le débat est ouvert .

     

    On va juger du macronisme sur quelques points intéressants: la société UBER, le COVID et les labos, les sociétés de Conseil et les Agences, le COR.... Le tout emballé dans la culture de la division où l'on peut surfer pour casser tout ce qui est appelé "les acquis"

     

    Mais Macron élu en 2017 Pdt de la République, a un petit défaut, il aime les voyous.

    Les rapports de Macron /Benalla en 2018 ont donné le ton immédiat sur son comportement politique à une époque où son rôle dans l'introduction de UBER en France n'avait pas encore été établi.

    Qui donc est Benalla ?

    Le 18 juillet 2018, les journalistes du Monde ont identifié un certain Alexandre Benalla sur des vidéos prises pendant la manifestation houleuse du 1er mai. Place de la Contrescarpe en plein Paris, on voit l'homme interpeller deux jeunes très violemment ... Il ne s'agissait pas d'un CRS mais d'un proche du couple Macron. Ce dernier et Benalla font du vélo ensemble. Benalla est reçu à l'Elysée. Il est en plus un adjoint au chef de cabinet du Président : un homme au cœur de l’Élysée, donc. La façon dont il a été nommé relève d'un flou artistique total. On ne va pas s'y attarder. La "gauche" parle, avec cette "nomination", des risques de police parallèle au service de l'Elysée.

    Le 20 juillet 2018 Benalla est placé en garde à vue dans le cadre de l'enquête judiciaire qui va suivre. On lui découvre en septembre un selfie avec une arme pendant la campagne présidentielle de 2017. On apprend que Benalla a bénéficié de passeports diplomatiques et qu'il ne les a pas rendus. Il aurait beaucoup voyagé avec, dont au Tchad...

    Sa vie politique est rendue publique. En 2012, il faisait partie de l'équipe de sécurité de la campagne de François Hollande. Puis il est engagé comme directeur de la sûreté, après avoir fait partie bénévolement de la sécurité de "En marche" durant la campagne présidentielle en 2017. Après l'élection d'Emmanuel Macron, il est engagé comme chargé de mission par le cabinet présidentiel.

    Les infos pleuvent de tous côtés après sa garde à vue. Il aurait un statut très privilégié auprès de l’Elysée. Un luxueux appartement de 300m2 avec un budget travaux de 180 000 euros, une voiture de fonction ou encore salaire de 10 000 euros par mois : le protégé du Président aurait bien des avantages. L’Opinion (journal neolibéral de droite, proche de Bernard Arnault), a indiqué que le chef de l’Etat a une si grande confiance en lui qu’il lui confie même les clés de sa résidence au Touquet de son épouse Brigitte. « Ses compétences ne sont sans doute pas la bonne explication : Benalla avait des fonctions subalternes, mais il vivait dans l'intimité du couple présidentiel", a révélé une source proche du Président. Racontars ou pas, ça n'a pas été démenti.

    Le 5-11-21 Benalla est condamné en 2021 à un an d’emprisonnement ferme et deux ans avec sursis pour avoir usurpé la fonction de policier. Il était équipé d'un casque des forces de l'ordre.. Il fait appel. Le 14 décembre 2021, Alexandre Benalla et son épouse sont placés en garde à vue, dans le cadre d'une enquête sur des soupçons de corruption autour d'un contrat de sécurité signé entre l'oligarque russe Iskandar Makmudov et l'ancien gendarme Vincent Crase......

    Le 27 janvier 2023, Alexandre Benalla devait être jugé en appel pour violences. L'audience a été renvoyée à juin 2023 pour des raisons de santé.

    Pour résumer, Benalla apparait être une sorte d'aventurier, extravagant, exercé à la violence, ayant des relations douteuses...

    Le personnage plaisait au Président Macron !

     

    De UBER à la gestion anticovid : Les méthodes de Macron

    La découverte récente de l'implication de Macron dans l'installation de UBER en France, et sa façon de procéder, éclaire un peu plus la personnalité de ce dernier, et ses méthodes de gouvernement.
    L'entreprise UBER !
    Grace aux centaines de milliers de documents internes (messages, mails, documents) livrés par un ancien responsable du lobbying d'UBER, Mark MacGann, devenu lanceur d'alerte au Guardian, à des journalistes d'investigation, nous pouvons savoir comment l'entreprise américaine UBER s'est implantée et a prospéré en Europe et en France et le rôle particulier qu'y ont joué des hommes politiques, comme Macron quand il était Ministre de l'économie sous la présidence de HOLLANDE entre 2012 à 2016 .


    Plusieurs pages du journal le Monde y sont consacrées depuis le 12 juillet 2022. Les faits, les dates, les courriers, les compte- rendus, les témoignages sont donc très précis.
    Quel était l'enjeu de l'implantation de UBER ? Sous couvert de permettre à tout un chacun de devenir chauffeur occasionnel au volant d'une voiture, il s'agissait plus généralement de permettre de travailler sans statut, sans contrat précis, sans horaires, à titre individuel, hors salariat… Pour des milliers de petites mains au profit d'une entreprise UBER , ou d'une autre, qui prenait des commandes de toutes sortes: transport d'individus d'un lieu à un autre, livraison de paquets, commandes de repas, réparations... ou tout autre service de natures très différentes..... Très exactement il s'agissait de mettre en cause le salariat et ses droits acquis, en faisant croire à la liberté du travail, et à des possibilités nouvelles de faire de l'argent. Ce qu'ont pu croire un certain nombre de jeunes aventureux et épris de "liberté"
    Les petites mains en question venaient avec leur voiture, leur fourgonnette, leur moto, leur vélo (!) prendre la commande, l'exécutaient comme ils l'entendaient et étaient payées au service rendu, par UBER. Ils n'étaient pas salariés, n'avaient pas de fiche de paye, pas de couverture sociale, agissaient hors de tout cadre légal, sauf à devenir "auto-entrepreneur" (!). Il s'agissait de déréguler complètement le secteur des transports et ce qui restait du code du travail, en instaurant "la liberté du travail"..


    UBER s'installe en France dès 2011. Les protestations sont immenses, entre autres chez les chauffeurs de taxi. Cela occasionne une loi imprécise, la loi Thévenoud de 2014 sensée encadrer les conditions pour devenir chauffeur.
    MacGann précise que UBER faisait valoir d 'énormes opportunités économiques,. Tout dépend pour qui. Pour les entreprises de type UBER c’était des possibilités de profits immenses; pour les gouvernements cela pouvait permettre d’en finir avec des conflits salariaux avec les syndicats. Par contre pour les «petites mains » ça n'a pas été le cas : "Il était clair que nous avions vendu un mensonge à tout le monde". Mais le discours opportuniste a fait illusion et a "pris". Macron ne s'y est pas trompé.

    Les documents en question révèlent donc le rôle personnel joué par ce dernier dans la protection de l'implantation d'UBER en France: rendez-vous très fréquents avec le PDG Travis Kalanick, qui est un personnage très controversé ( scandales de harcèlement, conflits avec ses actionnaires), mais qui noue des relations "d'amitié" avec Macron. Celui-ci aurait été fasciné par l'individu et y aurait vu un « double ». Rencontres une fois par mois. Macron va suggérer des décrets d'application d’une loi ad hoc. En effet , il est pour les activités de UBER qui, selon lui, vont créer bp d'emplois. C'est le critère mis en avant. Il salue en UBER des innovateurs, et se refuse à interdire leurs activités.
    Une rencontre confidentielle est préparée le 1-10-2014 avec UBER pour discuter de la loi qui vient d'être votée et qui a pour but officiel d'entraver les activités de UBER. Mais le travail en franc tireur de Macron consiste à "contourner la loi" . En effet Macron affronte en douce l'hostilité du gouvernement au complet contre UBER (outre les termes imprécis des décrets d'application, il conseille à la DGCCRF d'être "moins conservatrice" dans ses appréciations, idem auprès des préfets...) et oeuvre en secret pour le compte de UBER.

    Les révélations de "UBER files" (les multiples écrits étudiés par les journalistes d'investigation) provoquent la stupeur. Macron a donc oeuvré en coulisse à Bercy pour défendre UBER et l'aider dans ses initiatives sans que le gouvernement d'alors le sache et contre son avis.
    Comment est-ce possible ? Macron interrogé sur son comportement en 2022 a vertement réagi en disant qu'il ne reniait en rien ce qu'il avait fait, et qu'il a eu raison. La preuve: les petites mains existent toujours et ont une activité …. certes mieux encadrée. Il n'a pas nié, il n'a pas attaqué en justice les grandes pages du Monde du 12 juillet, puis du 13, et des 14 et 15 juillet....qui donnent des détails sur la façon dont les choses se sont passées. On renvoie donc le lecteur à ces pages où on apprend aussi que les Pays Bas ont été un allié fiscal de UBER.
    La riposte violente de Macron est certes la meilleure défense, mais il est étonnant que les choses en restent là tant son comportement avec UBER est révélateur d'un personnage sans scrupule, qui joue de sa fonction, manie un discours officiel en contradiction avec son activité réelle, n'est pas gêné de tromper ses collaborateurs, aime apparemment les situations équivoques et les personnages troubles.
    Ses rapports avec Travis Kalanick font penser de suite à ceux qu'il entretiendra avec Benalla en tant que Président de la République.
    Macron n'entretient pas seulement des rapports importants avec les hommes d'argent et les banques, comme on le dit, mais il aime les personnages qui ont des rapports limites avec la loi. Il a toutes les caractéristiques du voyou malin et bien élevé qui se trouve aussi bien en eau trouble que dans des fonctions de responsabilité. MacGann, le lanceur d'alerte, voyait en Macron un homme talentueux.
    Précisons tout de même que UBER arrivait à point nommé dans un système économique libéral qui rêvait d'en finir avec toutes les règles admises du droit du travail. UBER avait l'avantage de plaire à la fois aux libéraux et à des jeunes réticents face au salariat, et ignorants de son histoire, qui ont imaginé faire affaire avec une "liberté totale du travail", voyant dans les règles en vigueur uniquement un aspect bureaucratique et tatillon.
    Naturellement, les premiers moments passés, ils ont vite déchanté, quand ils ont compris tout l'intérêt d'une couverture sociale, et qu'ils n'ont pu engranger les sommes d'argent qu'ils espéraient.


    ACTUALITE DE LA METHODE UBER


    -juin 2022 : on manque d'enseignants, Macron propose que les chefs d'établissements recrutent eux-mêmes des contractuels pour enseigner, après un entretien de 30 mn.....!
    -Au 12 août 22, une expérience vient d'être tentée de recruter des réservistes (18 à 61 ans) de la police nationale selon la méthode UBER. Après une formation de 15 jours, ils pourront tous porter des armes. Il faut 12 mois en théorie pour former un policier.
    Les adjoints sont formés en 3 mois
    -on étudie la méthode UBER adaptée aux médecins!!!! on a déjà tenté la télémédecine

    Les réserves sont plus que vives. Que reste-t-il de tout cela ?

    Conclusion sur ce point.


    Les objectifs de UBER et tout ce qui y ressemble sont connus..Faire prévaloir une méthode du "tout marché": répudier le travail salarié, se moquer des acquis sociaux, du code du travail comme des entraves à l'emploi. Une couche de citoyens peut patager cette vision du monde purement opportuniste.. Ainsi on voit des centaines de jeunes, et moins jeunes, rrefuser les CDI qu’on leur propose, dans la restauration par exemple, dans la santé…. pour préférer des CDD : s’en aller quand on veut, rester libre, ne pas travailler tout le temps, profiter de l’existence de l’assurance chômage pour prendre des vacances payées, voir ailleurs si c’est plus intéressant… etc (le Monde du 26-19-22). C’est la mentalité UBER qui n’apprécie pas les acquis pour ce qu’ils sont mais pour l’utilisation qu’on peut en faire de façon opportuniste. Les membres du gouvernement et du patronat ne s’y sont pas trompés, et paradoxalement vis à vis de la mentalité Macron, proposent de chasser de l’assurance chômage tous ceux qui refuseraient un CDI. Ce dernier était la panacée il y a plusieurs années en arrière quand le pays ne manquait pas de main d’oeuvre. Des contractuels mendiaient des CDI !!
    C’est ce qu’on appelle aujourd’hui le refus du travail, et plus généralement la dévalorisation du travail….

    C'est ni plus ni moins une perversion des mentalités fondée sur l'inculture et la facilité, mais qui coûte cher le jour où ces citoyens ont des problèmes de santé ou d'accident du travail.

    Macron en a fait ses choux gras.

    Sa méthode de gouvernement: faire ce que bon lui semble, lui et ces amis de la finance, des laboratoires, des lobbys, et se cacher derrière des structures vides de contenu pour justifier les décisions prises: conseils scientifiques, agences en tous genres, cabinets de conseils et autres....


    Politique sanitaire anti covid par Macron de 2020 à 2022 et son Conseil scientifique

    L'analyse succinte ci-dessus n'est pas inutile pour tenter de comprendre comment, quelques années après UBER, Macron, face à un virus inconnu, le Covid 19,. a imaginé une politique sanitaire imitée de la Chine, pire que le virus lui-même. Il a vu immédiatement l'opération financière du siècle à saisir, avec un discours "scientifique" dont il a imaginé les contours, ayant une bonne connaissance des labos et de leurs actionnaires, et des banques qui leur étaient liées.

    Il n'a pas cherché à faire soigner, à faire prévenir des effets les plus nocifs du virus. Il n'a vu que l'opération financière à venir.
    Il a en effet su utiliser rapidement, avec quelques médecins opportunistes, la bonne réputation des vaccins d'après guerre, et leurs caractères d'acquis, pour faire d'un nouveau vaccin conçu à la hâte ("l'urgence sanitaire") l'arme de guerre contre une maladie qui allait prétendument, grâce à l'OMS, et son sponsor Bill Gates, tuer des millions de gens.

    Et pour ce faire, il a conçu le rôle d'un Conseil scientifique "indépendant" en 2020 à ses côtés pour faire "sa" politique sanitaire à propos de la crise du Covid.

    On ne va dire que quelques mots sur le Conseil Scientifique. Ce dernier dit scientifique et "indépendant" lié à l'état d'urgence, doit se dissoudre fin juillet 2022 pour laisser place à un autre.
    Une chose est au moins sûre, l'état d'urgence est levé.
    Nous n'avons pas, pour l'analyse qui suit, recours à des journalistes d'investigation. Nous faisons des hypothèses à propos des articles et infos lus dans la presse, principalement le Monde.
    Ce Conseil constitué le 10 mars 2020 fut composé de 16 médecins (en majorité) sans envergure, leurs noms sont largement inconnus.
    Ils sont tous nommés par le Président de la République par décret , et non pas désignés pour leurs qualités professionnelles par leurs pairs et des personnes indépendantes. Ils sont donc choisis comme "macronistes", puis nommés. Contrairement à ce qui a été dit, ce Conseil n'est donc pas indépendant, il est aux ordres.

    Ce Conseil ad hoc semble donc avoir donné l'assurance au départ que ses membres ne rueraient pas dans les brancards quand ils seraient malmenés par les médias et les réseaux sociaux ou par le gouvernement lui-même. Sa garantie de sérieux était le silence !!

    On devine pourquoi le docteur Raoult, pressenti pour ce Conseil, l'a quitté au bout de 2 semaines... Des" bénis oui oui " aurait-il dit . Nous saurons un jour exactement comment les choses se sont passées. Il est bien dommage que le docteur Raoult se soit comporté par ailleurs comme un mandarin et ait eu des choses à se reprocher dans la gestion de la médecine. On est ainsi privé d'un témoin important des évènements de la période.

    Il s'avère donc que au nom des avis du Conseil dit "scientifique indépendant", Macron fera exactement ce qu'il voudra, sans que le Conseil ne fasse publier de protestation sur une dite mauvaise application de ses avis.
    Il est écrit dans les nombreux articles, dont celui du Monde du 23-7-22, que le Conseil était pour le doliprane comme seul soin possible, pour le confinement (imité de la Chine), avec le génial professeur Neil Ferguson (RU) dont la réputation n'est plus à faire. Il était également pour le couvre feu en 2020. Macron se serait également alors exécuté !. Un Conseil scientifique qui se prononce pour un confinement, c'est possible, mais pour un "couvre feu", c'est inquiétant. Un "couvre feu" est une mesure politique qui relève du ministère de l'intérieur. Le conseil a servi de paravent pour justifier un couvre-feu.. Quantité d'écrits y voient une dérive despotique et antidémocratique. On sait que les défenseurs des droits se sont récriés au nom de la démocratie.

    On sait également que le gouvernement Macron réunissait une sorte de "conseil de guerre" chaque semaine, dont les débats restaient secrets, sur la conduite à tenir face à la crise sanitaire. L'état d'urgence justifiait cela, disait-il . On nous a fait croire que nous étions face à un danger semblable à la guerre; d'ailleurs le mot guerre a été prononcé. L'actuelle guerre en Ukraine rend la comparaison grotesque, tant l'épidémie de covid 19, même grave pour certains, n'a rien eu d'une guerre. C'est le manque de lits et de personnels, voulu et organisé par les divers gouvernementds depuis longue date (dans une perspective de privatisation), qui a rendu la situation catastrophique pendant certains mois. On a fait passer l'état déplorable dans lequel se trouvaient les hôpitaux, pour une situation déplorable due à la maladie... En 2019 l'état de la situation dans les hôpitaux était clairement établie dans des documents qui n'ont pas été contestés

    Il y a de plus, et entre autres, beaucoup à dire sur la façon dont les morts du covid ont été décomptés à partir des chiffres donnés par les hôpitaux et les Ehpad. Ces derniers furent particulièrement problématiques, et utilisés en vue de noircir le tableau, mais ça n'est pas notre objet ici. Nous savons qu'il y a eu des morts.... mais pas autant qu'on le dit, dus surtout à l'absence de soins, à l'intervention trop tardive, à l'état de l'hôpital, à la comorbidité accélérée par le virus...

    A la veille de nommer un nouveau conseil "indépendant" en juillet 2022, aucune évaluation de l'activité du premier Conseil encore actuel en juillet, n'a été rendue publique sur son expertise sanitaire , ... entre autre par le Conseil d'Etat.
    Ce Conseil dit scientifique, a-t-il joué ces deux années, 2020 et 2021, le rôle attendu par le public ? Un article du 14 et 15 juillet du Monde en doute. D'une part il n'y a jamais eu le point de vue, dans ce Conseil, des Associations de patients, pour faire valoir au moins les attentes et les résultats des "soins". D'autre part il y a eu multiplication des expertises, venues de toutes parts, de groupes de médecins opposés entre eux, ce qui a permis au gouvernement de choisir ce qui l'arrangeait le mieux . "Le gouvernement n'a jamais clarifié à quels degrés il prenait en compte les avis du conseil". Le gouvernement faisait confiance, à partir de janvier 21 à des "visiteurs du soir", dit l' article, qui envoyaient des notes régulièrement. On parle même de rupture entre Macron et le Conseil scientifique ces derniers mois. Il est demandé aujourd'hui que tous les avis soient rendus publics.
    Qui étaient ces visiteurs ? Macron n'aurait-il pas pris ses avis essentiellement auprès de Pfizer/MacKinsey, dont on a appris le rôle fin 2021, et ... Cap Gémini dont on vient d'apprendre le rôle début juillet 22, y compris dans la politique sanitaire ?

     

    Le Conseil dit "scientifique et indépendant" et les sociétés privées de Conseil

    C'est le sénat qui révèle le rôle de la société privée Mac Kinsey ( le gouvernement français a eu recours à ce cabinet de conseil pour les questions logistiques de la campagne de vaccination contre la Covid-19.Polémique car cela a coûté des millions d'euros au contribuable sans retour en impôts, pour un résultat peu probant) en faveur des vaccins, laquelle les a préconisés très vite. Le gouvernement en accord avec l'Ordre des médecins "donnait l'ordre" aux médecins de ne donner que du Doliprane aux malades en attendant le vaccin, et décriait avec une violence extrême, pas seulement les soins du docteur Raoult, mais ceux de tous les médecins naturopathes, homéopathes, ou simples généralistes honnêtes, en recommandant de jeter aux orties..... entre autres les huiles essentielles..... "bien plus nocives" apparemment que le covid, et des médicaments classiques pour lutter contre la grippe ( par exemple le chlorure de magnésium, le Zinc, la vitamine D et C...) laquelle grippe, par miracle, avait disparu.....La disparition de la grippe est un fait extraordinaire !!

    L'interchangeabilité des membres de Pfizer et de ceux de Mac Kinsey (1) pose question. Cette société privée est sulfureuse, liée à plusieurs scandales, pro russe; elle a une aussi mauvaise réputation que UBER : les deux ont des procédures judiciaires attachées à leurs basques et reluisent pour leurs malversations. Qu'à cela ne tienne. (2)
    On retiendra, encore une fois, les relations personnelles et politiques de Macron avec tout ce beau monde, qui rappellent celles qu'il a entretenues avec Benalla, qui n'était autre qu'un voyou. On a vite tiré un trait là-dessus.

    Pour en finir, notons que J F Delfraissy, Président de ce Conseil fut interviewé sur France Info le 20-7-22.
    Il dit en substance que le vaccin actuel "ne protège pas bien, mais un peu quand même".... car les anticorps monoclonaux dégagés par le vaccin ne peuvent rien contre les nouveaux variants, explique-t-il, et voient leur efficacité s'évanouir. Mais ce serait "mieux que rien" d 'être quand même vacciné. C'est le leitmotiv de la radio depuis des mois;
    Un article explique dans le Monde du 6-7-22.....que cette efficacité moindre des vaccins est une évolution normale. Question : Pourquoi alors entretenir l'idée de se faire vacciner dans ces conditions ? Les raisons économiques reviennent évidemment au galop: faire du chiffre en matière de vaccins et de tests, et satisfaire les actionnaires des labos..
    Pourtant l'éditorial du Monde du 23-7-22 dit que le vaccin protège contre les formes graves de la maladie. Etonnant en regard à ce qui est dit précédemment par Delfraissy.
    Il n'empêche que le Min de la Santé répète à longueur d'émissions radios qu'il faut se refaire vacciner, surtout les gens âgés et les femmes enceintes. C'est un harcèlement bien pire que de la publicité, car il se prévaut de l'autorité du Min de la santé.

    Delfraissy a dit dans l'interview cité plus haut que nous avons maintenant des médicaments qu'on n'avait pas auparavent: des antiviraux, l'un par voie intraveineuse à titre préventif, de faible efficacité dit l'article nommé, l'autre en cachets (Paxlovid ). Celui-ci serait très efficace, selon lui, pris dans les 5 jours après les premiers signes. Delfraissy reproche, tout comme l'article, aux médecins de n'en faire qu'un usage limité, alors qu'on est paré avec ce médicament face à une nouvelle déferlante, dit-il.... Qu'en pense les médecins ?? Ils hésitent en raison des effets secondaires....lesquels ne sont pas nommés ! Les médecins en général ne le préconisent pas.

    Un médecin interrogé par nous dit que la procédure d'utilisation est compliquée, et que la façon dont il est vanté par les structures pharmaceutiques pose question, et fait fortement hésiter. Ce médecin n'est pas étonné par la défiance générale des médecins vis à vis des anti-viraux.
    Finalement Delfraissy parlait au nom de qui ? D’un Conseil "indépendant" ??
    ......
    Le nouveau Conseil comporterait plus de personnalités extérieures, aurait un rôle de veille, d'anticipations, et de conseil sur la santé en général !!
    Un grand doute se manifeste car rien n'a encore été fait au niveau des hôpitaux où tout laisse croire que le gouvernement laisse pourrir la situation et ne veut pas répondre aux demandes maintes fois exprimées concernant les nominations et les salaires...De nombreux médecins désertent l'hôpital, aggravant son cas, en allant vers le privé. Le parlement va-t-il se saisir de cette situation ?
    Faut-il attendre une déferlante sociale du type du Sri Lanka (prise d’assaut du parlement) dont on a bp parlé, ou du Panama, dont on a peu parlé, au mois de juillet 2022 ???
    Nous ne savons pas aujourd'hui où en sont les poursuites contre Mac Kinsey, contre Cap Gémini. Y a-t-il eu plainte contre Macron sur son rôle occulte en faveur de UBER ??
    Silence radio pour l'instant.

     

    (1)AamirMalik, vice pdt de Pfizer, nouveau directeur à l’innovation, le 21-8-21, était consultant chez Mac Kinsey ;
    De même Stephen Hoge, Pdt de Moderna , était partenaire à Mac Kinsey de juillet 97 à sept 2001

    (2) Une commission du sénat a porté plainte contre Mac Kinsey

    (Avant que le sénat ne porte plainte nous notions ceci :
    Mac Kinsey a obtenu 1600 missions en 5 ans en France.
    Macron est au cœur d'un scandale !
    329 millions d’euros de chiffre d’affaire annuel pour Mc Kinsey et 0 euro d’impôt payé en France depuis 10 ans.
    22-2-22)

    ("Vendredi 25 mars 2022 :plainte du Sénat: En application de l’article 40 du code de procédure pénale, le Sénat a saisi la justice pour une suspicion de faux témoignage devant la commission d’enquête sur l’influence croissante des cabinets de conseil sur les politiques publiques.
    Le 18 janvier 2022,un directeur associé du cabinet McKinsey a déclaré sous serment devant la commission d’enquête sénatoriale : "Je le dis très nettement : nous payons l’impôt sur les sociétés en France et l’ensemble des salaires sont dans une société de droit français qui paie ses impôts en France".
    Or, l’enquête des sénateurs atteste que le cabinet McKinsey n’a pas payé d’impôts sur les sociétés en France depuis au moins 10 ans. Ces faits ont été étayés par deux contrôles sur pièces et sur place menés au ministère de l’économie et des finances.
    Les faux témoignages devant une commission d’enquête, aussi appelés "parjures", sont passibles de sanctions pénales, prévues par l’ordonnance du 17 novembre 1958 sur le fonctionnement des assemblées parlementaires.
    Dans le respect de la séparation des pouvoirs, il appartient désormais à la justice de statuer sur ce signalement du Sénat."

    D'après Wikipedia MacKinsey serait un escroc international)

     (en octobre 22 il s’est passé tellement de choses tout l’été, que les politiques et le bon peuple ont oublié tout ce qui précède. La justice interviendra-t-elle sur ces problèmes de fond ? Il y a peu de chances!)

    Conclusion provisoire:

    Nous disions au début de cet essai que Macron aimait les voyous. Au-delà de la boutade, si Macron n'est pas gêné de travestir la réalité, de travailler avec un organisme qualifié complaisamment de scientifique alors qu'il est simplement une émanation du gouvernement, il n'est pas gêné non plus de travailler avec des organismes peu fiables et malhonnêtes, mais surtout de dilapider les finances publiques dans des opérations douteuses pour échapper précisément au travail des élus ou (et) des fonctionnaires du domaine de la santé entre autres. Ceci est d'autant plus grave que le recours à des cabinets de conseil a été caché aux élus. Ce recours s'est multiplié, on n'en découvre l'ampleur qu'en 2023.

    Macron a également fait appel à des organismes existants, les Agences, dont les membres sont nommés par décret, et au COR (comité d'orientation des retraites) auprès du 1° Ministre, dont la nomination des membres est "secrète", c'est à dire introuvable.

    Tous ces organismes ont travaillé pour le conseil des Ministres. Ce sont des organismes ad hoc, tous dits scientifiques, sans aucune indépendance.


    Les Agences ANSES et ANSM et leur conseil scientifique

    Il existe toutes sortes d’agences qui pullulent en France et en Europe, il y a une contradiction insurmontable entre l’affirmation qu’elles sont indépendantes, et le fait que leurs responsables soient nommés par le Conseil des Ministres, le Pdt de la République ou par décret..


    1) L’ANSES (l'Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail ) crée en 2010 comme Agence dite in dépendante, donc antérieurement à l'arrivée de Macron comme Pdt de la République, est sous tutelle des Ministères. Son directeur général est nommé en Conseil des ministres et ses experts sont nommés par eux, entre autres le ministère de l’Agriculture, lequel par définition, obéit au syndicat agricole-holding qui défend, bec et ongles, le modèle de l’agriculture productiviste qui pourrit la terre et l’eau des pesticides les plus divers et les engrais chimiques, honnis par les petits paysans, les apiculteurs, les organisations écologistes..
    Les agents et les experts sont des contractuels recrutés à durée déterminée par les ministères..! Ils sont forcéments très "indépendants"
    Il est évident que le personnel, les experts, le directeur sont directement dépendants du gouvernement, et par conséquent des firmes liées au gouvernement.

    Le Conseil scientifique (de l'Agence) est indépendant, est composé exclusivement de scientifiques

    Il comprend :
    Deux membres de droit :
    • le président du conseil scientifique de l'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM),
    • le président du conseil scientifique de l'Agence nationale de santé publique, ou son représentant.
    Vingt-quatre personnalités scientifiques compétentes, nommées (pour 3 ans) par arrêté du 23 décembre 2019 (par) des ministres chargés de l'agriculture, de la consommation, de l'environnement, de la recherche, de la santé et du travail, sur proposition du directeur général  (nommé par le conseil des ministres rappelons le)

    Tous ces gens-là sont évidemment indépendants !!!

     

    Cette Agence s’appuie sur un réseau de 11 laboratoires de référence et  de  recherche

    L'ANSES interdit en février 2023 un herbicide le S-métolachlore, lequel est autorisé par le gouvernement français en 2005 alors qu'il est surveillé comme potentiellement dangereux en 2004 par l'Europe (l'Agence européenne des produits chimiques, dont les membres sont nommés par la CE). Il faudra à cette agence 13 ans (2010-2023) pour l'interdire ! C'est son degré d'indépendance par rapport au gouvernement !. Mais la société Syngenta a besoin de faire de l'argent et de faire beaucoup de mal...

     

    L'ANSM: Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé, a été créée par la loi du 29 décembre 2011 et mise en place en 2012, sous la tutelle du ministère de la santé
    L'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé est un établissement public français. Elle a pour mission principale d’évaluer les risques sanitaires présentés par les médicaments et produits de santé destinés à l'être humain.

    Un CA de 27 membres et un conseil scientifique de 16 membres nommés pour 3 ans par le ministre chargé de la Santé . Le président du CA est nommé par décret.
    L'ANSM est dirigée par un directeur général nommé par le président de la République. Celui-ci accomplit tous les actes qui ne sont pas réservés au conseil d'administration.

    L’ANSM délivre des AMM (autorisation de mise sur le marché)

    Il aurait manqué à cette analyse un organisme travaillant sur les retraites, avec la même physionnomie que les organes précédants: une pléthore de conseillers, recrutés tous azimuts pour assurer une couverture démocratique, mais tous nommés ou invités par le gouvernement en place.

     

    Un conseil ad hoc sur mesure : le COR

    Le Conseil d’orientation des retraites (COR) a été créé en 2000 pour étudier la question de la retraite en France. Le COR est un service du Premier ministre, membre du réseau coordonné par France Stratégie (1). Il s'agit d’une structure pluraliste et permanente, associant des parlementaires, des représentants des partenaires sociaux, des experts et des représentants de l’État français.

    Le Conseil est composé de quarante-et-un membres. Il réunit des élus, des représentants des organisations représentatives des employeurs, des travailleurs indépendants et des salariés des secteurs privé et public, des représentants des familles et des personnes âgées, les directeurs des administrations centrales principalement concernées par les questions de retraite, ainsi que des personnalités qualifiées, choisies pour leur expérience et leur compétence, dont quelques universitaires.

    Le Conseil s'appuie sur un secrétariat général de huit personnes, placé sous l'autorité du président du Conseil. Le secrétariat général assure une fonction d'animation, d'expertise et de synthèse : il commande aux administrations et caisses de retraite les travaux permettant d'alimenter la réflexion du Conseil, élabore les documents d'analyse et de synthèse constituant les dossiers mensuels, et prépare les projets de rapport en vue de leur adoption.

    Le Conseil est présidé aujourd’hui (2023) par Pierre-Louis Bras, inspecteur général des Affaires sociales (IGAS), 

    (1)Il est institué, auprès du Premier ministre, un Commissariat général à la stratégie et à la prospective. (Décret n° 2013-333 du 22 avril 2013 portant création du Commissariat général à la stratégie et à la prospective)

     

    (article à reprendre et à compléter)

    Une polémique: l'article de Hervé le Bras contre le COR (le Monde 5 et 6-2-23): scénarios du COR irréalistes

    Conclusion

    Doublage des fonctionnaires de la fonction publique;

    Dessaisiement de ces fonctionnaires

    Casser les services publics

    Caractère semi- caché de ces travaux

    Macron fait ce qu'il veut avec des agents à ses bottes et tente de se donner un aura scientifique